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1er PÔLE D'ÉCO-ACTIVITÉ DE HAUTE-SAVOIE menu

Démêler le vrai du faux

05/03/2020

Démêler le vrai du faux QUESTIONS - RÉPONSES

Voir le film de présentation "Qu'est-ce l'Ecoparc ?"

Pourquoi ce nouveau Parc d’activité ?

L’objectif premier de ce parc d’activités est de créer des emplois productifs pour limiter notre dépendance à Genève ainsi que le chômage sur notre territoire. Ainsi, l’Ecoparc proposera des solutions d’implantation pour répondre aux + de 400 entreprises qui nous ont sollicité depuis juin 2016 et vise la création de 1000 à 1200 emplois à terme.
Par ailleurs compte-tenu de sa localisation (transport en commun, voie douce en création, proximité des autoroutes) et de son enclavement entre les deux autoroutes, le site est plus que propice au développement d’un parc d’activités.

Est-il vrai que l’ECOPARC va coûter au contribuable ?

C’est totalement faux. Le projet a été conçu de manière à ce que la commercialisation des espaces couvre l’ensemble des dépenses s’élevant à 13,1 M€. Le projet ne sera pas financé par le contribuable.

Pourquoi ne pas la faire ailleurs dans une zone désaffectée par exemple ?

Il faut savoir que la CC du Genevois travaille déjà sur toutes les zones d’activité en friche comme Beaumont (environ 2 ha), Viry (environ 3 ha), St Julien (environ 4 ha) … afin de les réhabiliter ces espaces et ainsi entamer le moins possible les espaces agricoles. Ces zones ne suffisent malheureusement pas aux besoins de l’ensemble du territoire.
Le fait d’avoir une action sur plusieurs sites a également pour objectif d’anticiper les besoins futurs car il faut voir sur le long terme : les procédures pour aménager une zone d’activités sont longues, nous anticipons donc pour répondre aux besoins futurs.

On m’a dit que les commerces de l’ECOPARC vont faire de l’ombre aux commerces du centre-ville.
Est-ce vrai ?


Non, ce n’est pas la réalité.
Dans les faits, l’activité commerciale de l’ECOPARC représente moins de 10% de la surface du projet et ne viendra pas en concurrence aux commerces de centre-ville. Les enseignes qui vont s’y implanter ont besoin de grands espaces qui n’existent pas en centre-ville. Il s’agit de développer une offre complémentaire pour limiter les déplacements vers d’autres pôles commerciaux.

On nous dit que tout va être bétonné. Pourquoi tout détruire ?

Le projet ne va pas tout détruire bien au contraire. Il respecte les richesses écologiques et aquatiques du site que nous allons même renforcer. La totalité des haies « remarquables » seront conservées et une trame verte et une trame bleu seront crées représentant environ 1,1 ha. Une bonne partie des espaces végétalisés sera conservée avec notamment la création d’un parcours sportif pour que les usagers du site puissent en profiter.

C’est vrai qu’il y aura un stockage d’énergie ?

Effectivement nous allons créer un SMART GRID , il ne s’agit pas d’un stockage d’énergie, mais un réseau de chaleur/ fraicheur intelligent. Il permettra de stocker la chaleur l’été pour la redistribuer en période hivernale et inversement avec la fraicheur hivernale qui sera stockée pour être redistribuée durant l’été.
Il sera composé aux 2/3 d’énergie renouvelable avec une émission de CO2 quasi nul ce qui est très bien pour notre environnement.
Vous trouverez le film explicatif en cliquant ici.

L’enquête publique a-t-elle été faite ?

Bien sûr, il est impossible de lancer un projet tel que celui de l’ECOPARC sans enquête publique. Ce projet a fait l’objet de plusieurs enquêtes publiques, toutes ayant donné un avis favorable au projet et à ses modalités de mise en œuvre.

Dans le projet j’ai entendu parler de baux à construction, c’est quoi ?

C’est un système qui permet de mettre un terrain à disposition pour une très longue période plutôt que de le vendre. Ceci a l’avantage, entre autre, de garder la main sur le devenir du Parc et éviter par exemple une transformation, dans le temps, en zone commerciale au lieu d’une zone productive.

N’a-t-on pas peur que les zones agricoles disparaissent ?

La collectivité est en permanence à la recherche d’un équilibre entre le maintien de l’emploi, la qualité de vie et la préservation des espaces agricoles et naturels.
Elle a ainsi classé plus de 700ha en zone agricole protégée sur le territoire, et une autre zone de ce type est en cours de création. Par ailleurs, la CCG a récemment acheté 20 ha de terrains agricole pour en faire bénéficier des agricutleurs.

Pourquoi ce nom Ecoparc ?

Il est tout simplement en lien avec les valeurs que nous souhaitons lui donner :

accueillir des acteurs dans le domaine des éco-activités, du bien-être mais aussi de l’artisanat de bouche. La volonté est d’implanter des acteurs locaux, des activités de production et distribution de produits qui limitent l’impact sur l’environnement et la santé.
 
Ce projet est-il encadré sur le plan environnemental ?

Le 16 janvier 2020, Monsieur le préfet a délivré l’arrêté d’autorisation environnementale de l’Ecoparc du Genevois ce qui a permis le démarrage des travaux.
Cette autorisation environnementale unique, fixe les conditions de réalisation de l’opération, afin de limiter au maximum les impacts du projet sur l’environnement.
Ce document de 32 pages impose des mesures concrètes qui seront mises en œuvre par TERACTEM, par la Communauté de communes du Genevois et par tous les prospects qui viendront s’installer dans l’Ecoparc du Genevois. Elle intègre 3 grands chapitres : la protection des milieux aquatiques, la préservation de la faune et de la flore, l’insertion paysagère.

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